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Alain Beretz : "J'encourage chacun à s'exprimer sur le devenir de l'enseignement supérieur et de la recherche"

Alain Beretz

L’organisation des Assises de l’enseignement supérieur et de la recherche est lancée. Ces Assises aboutiront à la production d’un rapport qui servira de base à la refondation du paysage de l’enseignement supérieur et de la recherche, notamment le cadrage législatif. Programmées les 26 et 27 novembre prochain à Paris, elles sont préparées en amont par des assises territoriales animées par des rapporteurs territoriaux, et pilotées par le préfet, le recteur et le président de Région.
En Alsace, c’est Michel Granet qui, en lien avec les autorités locales et le comité de pilotage national, coordonne l’organisation des Assises et des cinq ateliers qui les précèdent pour faire émerger un ensemble cohérent de propositions. Si cette organisation est « normée »  par des éléments méthodologiques communs, elle fait également une place à l’émergence des initiatives locales. Les thèmes nationaux qui sont au cœur du débat sont :

  • agir pour la réussite de tous les étudiants
  • donner une nouvelle ambition pour la recherche
  • concevoir le nouveau paysage de l’enseignement supérieur et de la recherche

auxquels s’ajoutent deux thèmes centrés sur les caractéristiques locales

  • mixité des universités et organismes
  • dimension européenne de l’enseignement supérieur et de la recherche en Alsace

Ces cinq thèmes seront donc déclinés en cinq ateliers qui réuniront tous les acteurs de l’enseignement supérieur en Alsace, mais aussi nos partenaires de la société civile. Pour favoriser le débat interne, je vous encourage, étudiants, enseignants-chercheurs, personnels, mais aussi composantes et unités de recherche, à vous exprimer sur le devenir de l’enseignement supérieur et de la recherche et sur les sujets qui selon vous mériteraient une évolution significative. C’est, en effet, de propositions destinées à faire évoluer le système qu’il doit s’agir, bien plus que d’éléments détaillés relevant d’un état des lieux.

Dans ce contexte, il me paraît important, pour le débat, mais aussi pour notre communauté, que l’Université de Strasbourg fasse entendre sa voix. Un congrès, que je réunirai le 12 octobre prochain, avant les Assises territoriales, permettra à notre université de s’exprimer de manière institutionnelle. Ce congrès sera amené à délibérer sur des propositions émises lors des ateliers, mais aussi sur des contributions que vous aurez pu faire parvenir directement à vos élus, ou en les déposant sur la plateforme Moodle qui sera mise à disposition de l’ensemble de la communauté universitaire.

La tâche peut sembler trop vaste, les délais trop serrés, les procédures trop fermées. Ne perdons pas d’énergie à critiquer les défauts de la procédure. Utilisons au contraire cette opportunité pour construire ensemble une université à la hauteur de nos valeurs et de nos ambitions. Ainsi vos contributions, en plus d’enrichir le débat des Assises, constitueront aussi des apports précieux pour la vie de notre université.

Alain Beretz

Président de l'Université de Strasbourg

Pour en savoir plus, consulter le site des Assises de l'enseignement supérieur et de la recherche.

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Retour sur les Journées de rentrée 2012-2013

Expression artistique libre, rencontre des services sur les villages universitaires, tournois sportifs ou concerts ont rythmé les Journées de rentrée universitaire du 3 au 13 septembre 2012. Celles-ci ont vocation à accueillir tous les nouveaux arrivants à l'Université de Strasbourg et leur donner la possibilité de découvrir son fonctionnement et ses nombreuses activités informatives et festives.

Au cours de ces Journées de rentrée, le Service de la vie universitaire (SVU) a organisé pour les étudiants plus d’une dizaine de manifestations qui complètent l’accueil proposé par les différentes composantes de l’Université de Strasbourg.
Les 3 et 4 septembre, un accueil général installé sur le parvis de la Faculté de droit ainsi que des visites du campus central ont facilité l'orientation des nouveaux arrivants (à ce sujet, lire l'article sur l'application mobile mise en place par la Dun).
Un village des services universitaires, le mardi 4, et un village des associations, le mercredi 5, ont permis d’échanger et de découvrir les différents visages de la vie universitaire strasbourgeoise.
Le mercredi 5, les étudiants se sont initiés et renseignés sur les multiples pratiques sportives dispensées par le Service des sports.
Au cours de la journée du jeudi 6, les étudiants ont pu dénicher, à moindre coût, des objets du quotidien lors de la brocante solidaire.
Pour égayer la reprise de cours, une kermesse sur le thème de la prévention a pris place sur le parvis de la Faculté de droit le mardi 11.
Un concert gratuit réunissant plusieurs groupes de la scène locale s'est déroulé le mercredi 12 avec Altesse Prune et Les Dessous de la Vie, sur le parvis de la Faculté de droit.
Pour clore ces évènements, le président de l’Université de Strasbourg a remis le Diplôme universitaire d’Engagement étudiant à des étudiants impliqués dans la vie universitaire et associative.
Au fil des Journées de rentrée, des étudiants de l’UFR d’Arts ont exposé leurs créations dans divers bâtiments de l’Université de Strasbourg.

Pour en savoir plus : rentree.unistra.fr

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Les Journées de rentrée en diaporama

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Christine Gangloff-Ziegler et Serge Neunlist : « La communauté universitaire haut-rhinoise nous semble prête pour le rattachement »

Christine Gangloff-Ziegler est présidente de l’Université de Haute-Alsace (UHA) depuis le 18 juin dernier. Serge Neunlist est son premier vice-président, chargé du pilotage et des relations internationales. Tous deux, sont les porteurs politiques du projet de rattachement de l’UHA à l’Université de Strasbourg (Unistra). Le processus doit franchir une étape décisive au 1er janvier prochain. Tour d’horizon en sept questions.

Le rattachement de l’UHA à l’Université de Strasbourg est-il toujours bien acquis ?

Christine Gangloff-Ziegler
 : Bien sûr, nous sommes toujours sur cette perspective. La convention de rattachement, qui définira le périmètre et la philosophie de ce rattachement, sera finalisée pour la fin de l’année, car elle doit figurer dans le contrat d’établissement 2013-2017.
Évidemment, les actions prévues dans la convention se déploieront au fil du temps. On se donne cinq ans, le temps du quinquennal, pour construire concrètement le rattachement.

Que trouvera-t-on dans cette convention ?
Serge Neunlist
 : De notre point de vue, le rattachement est justifié par une idée forte, fondatrice : la recherche d’une « complétude » alsacienne, selon l’expression de Michel Deneken(1). C’est-à-dire d’une cohérence de l’enseignement supérieur et de la recherche en Alsace. Cela signifie, en matière de formation, de recherche, ainsi que pour la gouvernance, réfléchir à la manière de répartir opportunément l’existant sur l’ensemble du territoire alsacien, créer de la nouveauté en bonne intelligence, mutualiser uniquement si cela nous permet d’être plus efficace. La convention commencera à décliner les différentes actions à mettre en place avec une dynamique pluriannuelle en ligne de mire.
CG
 : En matière de formation, par exemple, cela peut vouloir dire de regrouper des formations à faible nombre d’inscrits  qui « doublonnent » sur l’un et l’autre site, mais aussi ouvrir des formations sur un second site si les effectifs le justifient. Ce pourrait être le cas par exemple pour la première année des études de santé.
Entre les services, des contacts nombreux ont déjà eu lieu. Un état des lieux sur les missions et manières de fonctionner de chacun est déjà établi, les convergences et divergences sont identifiées. La question qui se pose maintenant, c’est très concrètement : sur tel aspect, sommes-nous meilleur ensemble ou séparés ? Si la réponse est « séparés », alors, restons séparés…. Je ne suis pas favorable à une mutualisation générale, de principe. La chance du rattachement est de pouvoir travailler à périmètres différents selon les secteurs.

Qui porte politiquement le projet à l’UHA ?
CG 
: Nous deux. Nous avons choisi de le porter en direct à la fois parce qu’il est très transversal et que nous sommes les mieux placés pour avoir une vision globale dans notre établissement, mais aussi parce que c’est un symbole fort : une manière de démontrer toute l’importance que nous accordons à ce dossier.
De plus, Serge et moi avons tous deux l’expérience de la collaboration régionale : Serge dans le cadre d’Alsace Tech(2) et moi dans celui de l’Ariut d’Alsace(3).

La communauté universitaire haut-rhinoise a souvent exprimé des inquiétudes, des réticences dans le passé face à ce rapprochement. Vous semble-t-elle prête aujourd’hui ?
CG
 : Oui, il me semble qu’elle a évolué sur cette question, que le rattachement est perçu aujourd’hui plutôt positivement. Le contexte international a changé : on voit bien qu’il y a une tendance de fond qui pousse au regroupement. Nous avons davantage conscience de ce que nous pouvons gagner dans ce rapprochement : développer notre propre visibilité, notre propre attractivité, en nous appuyant sur la notoriété de l’Unistra, sur l’effet de levier dû à la taille.

Et qu’attendez-vous de la communauté universitaire strasbourgeoise ?
CG
 : Nous attendons qu’elle admette qu’il y a aussi de l’excellence à Mulhouse, de vrais savoir-faire et une singularité à laquelle nous sommes attachés. Nous attendons d’être reconnus comme des interlocuteurs.
SN
 : Nous attendons aussi qu’on nous laisse un vrai droit d’initiative, la possibilité d’innover au bénéfice de l’ensemble du site alsacien. Pour que cela fonctionne, nous devons régulièrement nous informer les uns les autres.

Y a-t-il des champs d’activité qui vous paraissent plus mûrs pour le rapprochement que d’autres ?
SN
 : C’est certain. D’abord, il y a des collaborations très anciennes entre les deux universités, des personnes, des équipes, qui ont l’habitude de travailler ensemble, et ont déjà, de fait, mis en commun des savoir-faire. Il sera aussi plus facile de construire de nouvelles choses en commun que de mettre en commun des pratiques existantes depuis longtemps. De manière générale, je suis d’avis de ne pas brusquer les choses, de les laisser se construire à la vitesse qui leur convient. C’est l’intérêt d’un rattachement par rapport à une fusion.
CG
 : Et puis, si les premiers projets se passent bien et que chacun y trouve son compte, ils auront une valeur d’exemplarité qui lèvera sans doute bien des réticences. C’est vrai aussi au niveau du rattachement tout entier : cette expérience est une première et nous sommes observés. Nous avons déjà eu plusieurs appels d’autres universités qui s’interrogent sur l’opportunité d’opter pour ce type de rapprochement. Cette approche fédérative est intéressante. Peut-être est-ce un bon équilibre qui permet de faire ensemble, à un juste niveau de gouvernance.

Est-ce à dire que la fusion avec l’Université de Strasbourg n’est pas envisageable ?
SN
 : Elle n’est pas écartée, mais il est certain qu’elle n’est pas à l’ordre du jour actuellement. Pour l’instant, nous sommes concentrés sur la construction et la réussite du rattachement. Nous nous sommes donné un mandat pour y parvenir. Nous ferons un bilan à terme et nous verrons à ce moment-là dans quel sens continuer.

Propos recueillis par Anne-Isabelle Bischoff et Caroline Laplane


(1) Premier vice-président de l’Unistra
(2) Alsace Tech fédère douze grandes écoles d’ingénieur, d’architecture et de management, basées en Alsace. Serge Neunlist en a été président pendant deux ans
(3) L’Ariut d’Alsace est l’Association régionale des IUT d’Alsace

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Utv lance "actUtv"

Utv, la web télévision des campus de l’université propose une nouvelle émission mensuelle intitulée actUtv. Elle fait le point une fois par mois sur l’actualité culturelle, événementielle et institutionnelle de l’université, destinée à la communauté universitaire. Dans un format moyen, de moins de trente minutes, elle accueille des invités, diffuse des reportages et propose un agenda des manifestations à venir.

Découvrez le premier premier numéro spécial services aux étudiants "Les vacances sont terminées".

Contact : Audrey Bordonné (audrey.bordonne@unistra.fr) ou Pascal Vaissier (vaissier@unistra.fr)

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Paps/ PCPI : premier coup de pioche début 2013

La partie nord-est de l'hôpital civil de Strasbourg accueillera d'ici à 2015 le Pôle d'administration publique de Strasbourg et le Pôle de compétence en propriété intellectuelle (Paps-PCPI). Après des travaux de démolition, la construction doit débuter en janvier 2013.

Depuis le mois de mars, les engins de chantier démantèlent l'ancienne médicale A sur le site de l'hôpital civil pour libérer l'espace destiné à la construction d'un pôle de formation et de recherche autour de la gouvernance des administrations publiques, de la propriété industrielle et des études européennes et internationales : le Paps-PCPI. L'heure est à la démolition et aux fouilles archéologiques sur le site mais les travaux de construction devraient débuter début 2013.
« Il s'agit du premier projet non médical à être implanté sur le site de l’Hôpital civil », confie Émeline Lafaury, chef de projet à la Direction de la construction et du patrimoine bâti de la CUS(1). Le bâtiment accueillera le Pôle d'administration publique de Strasbourg (Paps) soit un pôle d'excellence et de compétence de plus de 2 200 étudiants avec notamment l'IEP(2), et le pôle de compétence en propriété intellectuelle (PCPI) qui assurera la formation dans le domaine des brevets.

Développer des synergies


Pour l'IEP, à l'étroit dans ses murs avenue de la Forêt-Noire, « ce pôle va permettre d'augmenter les effectifs - restreints à 1 000 étudiants aujourd'hui - et de diversifier les formations », indique Sylvain Schirmann, son directeur. L'Ipag(3) et l'IHEE(4) rejoindront aussi ce pôle. « Des synergies fortes existent déjà avec ces structures mais le pôle va les renforcer et sera un outil plus adapté de visibilité », ajoute-t-il. « Il s'agit de se rapprocher du centre-ville avec toutes ses potentialités soit la proximité de l'Éna(5) et de l'Inet(6), la facilité de déplacement surtout pour les intervenants et l'image de dynamisme véhiculée ».
Ce projet est aussi l'occasion de regrouper les structures administratives et universitaires actuellement éclatées : le Ceipi(7) situé à l'Escarpe, l'IEEPI(8) à Illkirch et l'INPI(9) à Schiltigheim. Le troisième étage du nouveau bâtiment leur sera entièrement réservé. « Nous connaissons peu ces structures, mais je suis certain que des synergies vont se développer avec elles », indique Sylvain Schirmann.

Un outil fonctionnel et ouvert


Tous profiteront, dès la rentrée 2015, de cet établissement basse consommation énergétique de 13.000 m² qui marquera « l’ouverture à la ville du secteur nord de l’Hôpital civil », selon Émeline Lafaury. « Ce bâtiment de forme assez classique s'intégrera parfaitement sur le site historique grâce à son gabarit à l'échelle des autres bâtiments et à son habillage en bois », explique-t-elle. « Cet outil, extrêmement fonctionnel et ouvert, offrira des conditions de travail améliorées aux personnels et aux étudiants », confie le directeur de l'IEP.
Le projet, d'un budget global de 52,1 millions d'euros, est financé par la CUS, maître d'ouvrage, le département, la Région, l'État et l'INPI.

Floriane Andrey

  1. CUS : Communauté urbaine de Strasbourg
  2. IEP : Institut d'études politiques
  3. Ipag : Institut de préparation à l'administration générale
  4. IHEE : Institut des hautes études européennes
  5. Éna : École nationale d'administration
  6. Inet : Institut national des études territoriales
  7. Ceipi : Centre d'études internationales de la propriété intellectuelle
  8. IEEPI : Institut européen entreprise et propriété intellectuelle
  9. INPI : Institut national de la propriété industrielle

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Attention, bizutages dangereux !

Comme chaque année au moment de la rentrée universitaire, se repose la question du « bizutage » : une tradition qui peut paraître inoffensive, voire amusante, consistant à faire passer à de nouveaux arrivants dans un établissement une série d’épreuves, sorte de rituels  de passage. Une pratique qui dans les faits s’est révélée généralement violente, humiliante, voire dégradante pour ceux qui la subissaient, et constitue aujourd’hui un délit.

Si une personne en amène une autre, contre son gré ou non, à subir ou à commettre des actes humiliants ou dégradants lors de manifestations ou de réunions liées au milieu universitaire, elle est passible d’une peine de six mois d’emprisonnement et de 7 500 euros d’amende. Cette infraction est punie plus sévèrement encore lorsqu’elle est commise sur une personne vulnérable. Parallèlement à ces sanctions pénales, des sanctions disciplinaires peuvent être engagées à l’égard des auteurs des faits et des personnels des établissements s’il est avéré qu’ils n’ont pas fait le nécessaire pour empêcher les actes de bizutage.

Que cela n'empêche pas la fête

En cette période de rentrée, de nombreux événements festifs et conviviaux, nécessaires à l’accueil des primo-arrivants sont organisés à l’Université de Strasbourg (Unistra). Ils se déroulent généralement dans une ambiance bon-enfant, responsable et sécure. Néanmoins, l’Unistra appelle les responsables d’UFR, les organisateurs, les associations étudiantes, et de manière plus générale, tous les acteurs de ces événements, à la vigilance par rapport aux risques de dérapage.
Pour qu’elle réponde à sa vocation, la fête ne doit en aucun cas exposer les étudiantes et étudiants qui y participent à des situations de risques aigües pour leur santé et leur intégrité ou à des scènes de violence. L’Unistra y veillera.

La présidence de l'Université de Strasbourg

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Univer'Santé : un événement pour tester sa forme physique

Univer’Santé est organisée le vendredi 21 septembre de 12h à 17h30 dans le cadre de Sentez-vous sport*.

Le Service universitaire des activités physiques et sportives (Suaps) en partenariat avec le Comité du Bas-Rhin d'athlétisme et la Faculté des sciences du sport, propose aux étudiants, mais aussi aux enseignants-chercheurs et au personnel universitaire, d'évaluer leur forme physique grâce à l'outil "Teste ta forme" du Comité du Bas-Rhin d'athlétisme.
Ce concept innovant permet, grâce à six ateliers, de tester les grandes qualités physiques : force, vitesse, endurance, souplesse et coordination. Ces épreuves de forme se dérouleront à la halle des sports, impasse Arbogast sur le campus Esplanade. Une fiche bilan sera remise aux participants, leur permettant de se situer par rapport à la moyenne nationale mais aussi de distinguer leurs points forts et leurs points faibles. À l'issue de ces tests, les étudiants et personnels universitaires pourront découvrir et essayer différentes activités adaptées à leur profil proposées par le Suaps tout au long de l'année.

Prendre conscience de son état de forme

Objectifs de cette opération : prendre conscience de son état de forme, sensibiliser les participants à l'importance de l'activité physique et les orienter vers une ou plusieurs pratiques adaptées à leur condition physique et proposées par le Suaps.
Pour compléter cet événement, une initiation à la marche nordique sera proposée sur le parvis de la Faculté de droit.

*En savoir + sur Sentez-vous sport :
opération nationale de promotion du sport diligentée par le ministère des Sports et le Comité national olympique du sport français (CNOSF) du 19 au 23 septembre. Cet événement a pour but de promouvoir les bienfaits de l'activité physique pour la santé et le bien-être grâce à la découverte de différentes activités, et ce notamment dans l'enseignement supérieur.

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L’odyssée d’Ulysse se poursuit

Pour vous orienter sur les campus, pensez au guide Ulysse.
Vous ne le louperez pas ! Avec sa couverture rose fluo et noire, il est distribué sur les campus de l’Université de Strasbourg ainsi que dans différents points d’accueil (Cus, Crous, CTS, SNCF…).
Véritable mine d’informations sur la vie étudiante, le guide Ulysse traite chaque année depuis plus de vingt ans les différents aspects de la vie étudiante comme la santé, les transports, le logement ou encore la culture.
Une nouvelle rubrique fait son apparition : Les universités d’Alsace. Elle contient des informations sur le rattachement de l’Université de Haute-Alsace (UHA) à l’Université de Strasbourg ainsi que sur la Maison de l’étudiant de l’UHA. L’édition 2012-2013 est aussi l’occasion de fêter les 20 ans de la Carte culture avec une page entièrement consacrée à cet événement.

N’attendez pas ! Récupérez votre guide Ulysse dans les services de scolarité, dans les différents points d’accueil ou auprès de deborah.aubry@unistra.fr au Service communication de l’université.

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L’Université de Strasbourg signe la charte partenariale pour plus de biodiversité

Le 13 juillet dernier, l’Université de Strasbourg, représentée par Yves Larmet, vice-président « Patrimoine », a signé « la charte partenariale pour plus de biodiversité », une charte imaginée par la Ville et la Communauté urbaine de Strasbourg pour favoriser, sur toute l’agglomération strasbourgeoise, les pratiques éco-responsables dans les espaces verts collectifs.

Vingt-quatre partenaires ont signé la charte ce jour-là, institutions, collectivités, entreprises, associations qui s’engagent dans la démarche, ou valident un engagement plus ancien, et se proposent de partager leur pratiques, astuces, idées, connaissances techniques autour du « zéro pesticide », de la gestion économe de l’eau, de la réduction des tontes, la plantation d’espèces locales, de prairies mellifères, de haies champêtres, d’arbres fruitiers, etc.
À l’Université de Strasbourg, depuis trois ans, la gestion des espaces est éco-responsable, avec le « zéro pesticides », la création de prairies fleuries, la modération des tontes, la présence de ruchers, le recyclage des déchets verts etc. Cette stratégie s’inscrit également dans les nouveaux espaces avec la plantation d’espèces de plantes locales et rustiques, une réduction des espaces goudronnés pour réduire les rejets et bien d'autres initiatives. Bref, les équipes des personnels s’investissent au quotidien dans une gestion plus durable de nos espaces depuis plusieurs années, ce qui s’inscrit parfaitement dans l’esprit de la charte.

C.L.